Merci pour vos gentils messages, pour Washi.
Les souvenirs se bousculent, ils sont de tous les lieux, de tous les instants. Il est encore là, mais je ne peux plus attraper sa fourrure à pleines mains. Une heure viendra où je pourrai enfin lui donner le sommeil. Sa présence se fera alors impalpable, mais rassurante et apaisante...
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