eleveur
 

bonjour

a 100% ok

Je reviens sur une réflexion un peu hâtive que j’ai faite il y a quelques jours et qui concernait la relative fragilité émotionnelle du CLT pouvant entraîner de la dangerosité. Elle faisait suite à un post qui suggérait que le CLT était un des moins susceptible de dangerosité.

Il me semble que souligner à l’excès l’une ou l’autre de ces deux appréciations a des effets pervers.
Le 1er cas (absence de dangerosité) encouragera des acheteurs inexpérimentés à tenter l’aventure du CLT. Le 2ème cas (dangerosité trop soulignée), « valorisera » le CLT aux yeux de personnes soucieuses de parader (cf. Rottweilers).
Autrement dit, rester évasif aux questionnements des curieux et déplacer le curseur de l’appréciation selon l’acheteur potentiel (même si nuancer ses convictions est une gymnastique difficile pour un passionné, modération et passion allant mal ensemble), me paraît plus sage.

Sympathies.

D'accord avec toi sur l'analyse des réactions possibles et de leurs conséquences perverses... quelle que soit la réponse que l'on apporte aux questions qui nous sont posées.
Mais vraiment pas facile de rester évasif tant la passion nous incline à parler de nos compagnons (le choix de la réponse appartient à chacun mais me semble difficile à dépassionner), et tant l'aspect extérieur lupoïde ne passe pas inaperçu aux yeux des passants "intéressés" que nous pouvons croiser (la question du loup est ces temps-ci de plus en plus -mal !- médiatisée en France et cette médiatisation a elle aussi ses effets pervers).
Ceci étant, je suppose que, comme cela a déjà été évoqué, nous tenons compte plus ou moins intuitivement (et plus ou moins justement ?...) de la perception que nous avons de notre interlocuteur pour "moduler" nos réponses aux curiosités que suscitent fréquemment nos CLT.

Amitiés,
Phil