Pour éviter généralités et simplifications (aux effets toujours pervers), il me semble opportun de renvoyer les amateurs de discussions éthologiques concernant le loup aux écrits de Menatory, père et fille, Landry, Carbone..., et surtout (mais dans la langue de Shakespeare) la bible magistrale et insurpassée à ce jour à mon avis de David Mech (et Boitani que l'on oublie trop souvent).
La principale spécificité du loup est à mon sens,... sa prodigieuse adaptabilité (c'était, à "égalité" peut-être avec le renard et assimilés, le grand mammifère super-prédateur le plus répandu sur le globe avant les destructions massives) qui rend toute simplification quant à son écologie ou -davantage encore- à son éthologie, forcément abusive. Mais nous nous éloignons du sujet d'origine !
Amitiés,
Phil
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Gloire à qui n'ayant pas d'idéal sacro-saint
Se borne à ne pas trop emmerder ses voisins
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